Sa sensibilité pour les peines intérieures du Cœur de Jésus ne l’éloignait jamais des problèmes dans lesquels se trouvait l’Église de son temps.
Ses prières et ses entretiens avec le Seigneur l’aidaient à sentir de façon plus aiguë l’Église et ses problèmes.
D’ailleurs c’était seulement pour le bien de l’Église, pour que celle-ci puisse mieux réaliser sa mission, qu’elle avait défendu jusqu’au bout, ne craignant pas les incompréhensions ou les persécutions de sa naissante et encore fragile famille religieuse.
En fait, le 26 mai 1921, tout de suite après la crise qui avait menacé son Institut, elle écrivait, non sans émotion: “La chère escouade qui agit pour la gloire de Dieu est un grand espoir pour l’Église”.